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Paris - Chisinau

 

3 jours, 3 moyens de transport, 3 escales et 3 nuits sans dormir. Voici mon résumé de mon voyage de Paris à Chisinau, la capitale de la Moldavie. Je suis parti en autobus de Paris à Budapest (Hongrie) et de là, j’ai pris le train pour Bucarest (Roumanie) et finalement, l’autobus pour Chisinau.

 

3 as, 3 medios de transporte, 3 escalas y 3 noches sin dormir. En estas palabras resumo mi viaje de París a Chisinau, la capital de Moldavia. Tomé el bus de París a Budapest (Hungría) y de allí, tomé el tren para Bucarest (Romania) y finalmente, el autobús hasta Chisinau.

 

3 days, 3 means of transportation, 3 stopovers and 3 nights without sleeping. This is how I would describe in a few words my trip from Paris to Chisinau, the capital city of Moldova. I took the bus in Paris for Budapest (Hungary) and from there, I took the train to Bucharest (Romania) and finally, the bus to Chisinau.

 

 

 

Je suis presque arrivé en retard. L’autobus partait à 14h et je suis arrivé à 13h55 à la station d’autobus. Il fallait que je fasse imprimer mon billet à un guichet avant d’entrer dans l’autobus. Je suis donc allé voir le chauffeur pour lui demander de m’attendre. Étant à Paris, je m’attendais à ce que le chauffeur soit Français, mais il n’a rien compris de ce que je lui ai dit. Quand j’ai fini de dire ce que j’avais à dire, il m’a regardé et, en gardant son visage fermé, sans la moindre expression faciale, il m’a pointé du doigt à l’autre chauffeur. Celui-ci m’a donc regardé et il attendais que je dise quelque chose. J’ai cru que ce deuxième chauffeur parlait le français puisque sinon, je ne vois pas pourquoi le premier chauffeur lui aurait demandé de m’écouter. Je lui ai donc demandé de m’attendre pour que je puisse prendre mon billet. Et il a froncé les sourcils, il a crié « NO FRANCE, ZIS IS BUDAPESSSHHT! » J’ai traduit rapidement en anglais ce que j’avais dit et j’ai couru faire mon billet. C’était ma première expérience avec des Européens de l’Est. J’ai trouvé ça drôle cette fois-ci, mais les fois suivantes, c’était plus désagréable…

 

Casi llegue demasiado tarde a la estación de bus. El bus se iba a las 14 horas y yo llegue a las 13h55. Tuve que imprimir mi billete antes de subir al autobús. Entonces fui a ver el conductor para decirle que me esperase mientras iba a hacer una impresión de mi boleto. Cuando terminé diciéndole eso, me miro, quedándose mudo, sin ninguna expresión facial, me apuntó de su dedo al otro conductor para que yo hablara con él. Yo pensé que este segundo conductor hablaba francés, entonces se le dije que tenía que hacer imprimir mi boleto. Él me contestó gritando: “NO FRANCE, ZIS IS BUDAPESSSHHT!” Traduje entonces al inglés lo que había dicho y me fui corriendo a hacer mi boleto. Esta fue mi primera experiencia con los europeos del Este. Esta vez, la encontré cómica, pero las veces siguientes fueron un poco más desagradables...

 

I almost arrived too late to the bus station. The bus was going at 2 p.m and I arrived at 1:55 p.m. I had to print out my tickets before boarding the bus. Before I did this, I went to the driver to tell him to wait for my while I was printing the ticket. I assumed he would speak French, because we were in Paris. So, I told him in French that I had to print my tickets. When I finished talking, he looked at me and, without any facial expression, he pointed his finger at me, looking at another driver, so he would come and talk to me. I therefore thought this second driver would speak French, otherwise I don’t understand why the first driver would have asked him to talk to me. I repeated him what I just said and he replied very loud, almost screaming: “NO FRANCE, ZIS IS BUDAPESSSHHT!”. Then, I told him quickly in English what I had just said and I ran to the tickets office to have my tickets printed. This was my first experience with Eastern Europeans. This time I found it amusing, but the next times, it was a little bit more unpleasant…

 

 

 

À la station d’autobus de Budapest, je suis allé voir au kiosque d’informations pour savoir s’il y avait un autobus ou un train qui se rendait à Chisinau. La Hongrie est le premier pays dans lequel je me suis trouvé dont je ne parlais pas la langue. J’ai pensé à tous ces Américains que j’avais vus en Amérique Latine essayant d’avoir des informations en anglais, mais personne ne les comprenait ou ne pouvaient leur répondre. Au kiosque d’informations, ils ont su bien me répondre en anglais. Il n’y avait pas de bus ni de train pour Chisinau, mais il y avait un train pour Bucarest et de cette ville, il y avait des départs quotidiens vers Chisinau. Alors, sur une carte, on m’a montré où se trouvait la gare de trains et on m’a dit qu’en taxi, ça me coûterait 10 euros alors qu’en métro, moins d’un euro. Remarquez sur la photo le texte écrit en hongrois. Cette langue n’est pas d’origine indo-européenne comme le français, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et beaucoup d’autres, mais d’origine finno-ougrienne… donc aucun mot en hongrois ne ressemble de près ou de loin à ceux d’origine indo-européenne…

 

En la estación de bus en Budapest, yo fui al quiosco de información a ver si había un bus o un tren que iba a Chisinau. Hungría es el primer país en cuál me encontré cuyo idioma no hablaba. Allí pensé a todos los estadounidenses en América Latina que trataba de obtener informaciones en inglés pero que nadie les podía contestar. En el quiosco de información, supieron muy bien responderme en inglés. No había ningún autobús o tren directo a Chisinau, pero había un tren a Bucarest y de allí va diariamente muchos autobuses a Chisinau. Entonces en un mapa, me mostraron donde se encuentra la estación de tren. Me dijo que en taxi me costaría 10 euros, mientras en metro me costaría menos de un euro. Miren el texto escrito en húngaro. Este idioma no tiene origen indo-europea, como la mayoría de los idiomas europeos (francés, inglés, español, alemán, etc.) sino de origen fino-ugrio. Entonces, ninguna palabra húngara parece de cerca o de lejos a unos de los idiomas indo-europeos...

 

In the bus station in Budapest, I went to an information kiosk to know if it was possible to take a train direct to Chisinau. Hungary was the first country I ever got in whose language I could not speak. I then thought of the Americans I had seen in Latin America who were trying to get information in English but nobody could give them answers. The people in the kiosk could respond to my questions in a very good English. There were neither bus nor trains that were going to Moldova from Budapest. But there was a train that was going to Bucharest, and from there, there were daily departures to Chisinau. They showed me on a map the location of the train station and they told me that a taxi ride to the station would cost 10 euros, whereas by metro it would cost less than a euro… Notice the text written in Hungarian. This language has nothing to do with other Indo-European languages such as French, English, Spanish, German, etc. The Hungarian language is of Finno-Ugric origin, thus there is no Hungarian word that looks like the ones in the Indo-European languages.

 

 

Quand je suis arrivé à Budapest en Hongrie, un ancien satellite de l’Union Soviétique, j’ai eu l’impression de faire un voyage dans le temps et de me retrouver dans l’URSS des années 1970-1980. J’ai donc réalisé que je n’avais pas besoin de me rendre aussi loin que la Moldavie pour l’observer.

 

Al llegar a Budapest, Hungría, un antiguo satélite de la Unión Soviética, pensé que había hecho un viaje en el pasado y que me encontraba en la URSS de los años 1970-1980. Realice que no hay que ir tan lejos que Moldavia para observarlo.

 

When I arrived to Budapest, Hungary, a former Soviet Union satellite, I felt as if I had made a voyage back to the past and that I was finding myself in the USSR in the years 1970-1980. I then realized that I did not need to go as far as Moldova to see this.

 

 

J’ai pris le métro pensant que ça me coûterait moins cher que le taxi. Mais j’ai fait la grande erreur de ne voyager qu’avec un seul billet dans deux lignes différentes de métro. Pour faire la correspondance entre deux lignes de métro à Budapest, il faut payer pour deux billets. Je n’avais jamais vu cela auparavant. J’ai pris le métro dans 7 villes et Budapest est la seule où il y a cette règle. Une quinzaine de vérificateurs de billets attendaient les voyageurs dans un couloir à la station de la gare centrale. Une petite femme a pris mon billet et m’a dit qu’il aurait fallu que je paye pour deux billets. Ensuite, elle m’a dit que je devais payer une amende de 6000 forints. Voyant ma surprise, elle a pris mon billet de métro et m’a montré la partie en anglais qui parlait de cette règle, juste pour ne pas que je puisse utiliser comme défense « je ne savais pas ». J’avoue que je n’ai pas lu ce qui était écrit sur le billet, mais la seule phrase qu’il y avait en anglais disait que le billet n’était bon que pour un voyage, si je l’avais lu j’aurais cru qu’un voyage incluait aussi une correspondance… Bref, je n’avais pas 6000 forints dans mon porte-monnaie. La vérificatrice m’a dit alors « zis is police prrrroblem » et elle a sorti son téléphone cellulaire pour me montrer qu’elle allait appeler la police si je ne trouvais pas 6000 forints sur-le-champ. J’ai sorti l’argent d’une autre poche, je n’avais que des euros, un billet de 50, elle m’a dit que 6000 forints valaient 30 euros, ce qui s’est avéré faux lorsque j’ai vérifié sur Internet (25 euros selon le vrai taux). Elle m’a donc donné ce constat d’infraction qui prouve que j’ai payé mon amende. Ça m’aurait finalement coûté moins cher de prendre le taxi! J’aurais voulu retourner dans la station de métro pour prendre des photos des wagons. C’était de vieux wagons soviétiques des années 1950 ou 1960. À l’intérieur de ces wagons on sentait vraiment l’ambiance de l’ex-URSS. Mais je n’ai pas voulu risquer de payer une autre amende, alors je ne suis pas retourné dans le métro pour prendre des photos.

 

Tome el metro pensando que me saldría más barato que el taxi. Pero hice un error grave: viaje en dos líneas de metro con uno sólo billete. Para hacer la combinación en el metro de Budapest, hay que comprar dos boletos. Nunca había visto esto antes. He tomado el metro en 7 ciudades y Budapest es la primera con esta regla. Una quincena de verificadores estaban esperando los viajadores en la salida de la estación. Una pequeña mujer tomó mi billete y me dijo que hubiera necesitado comprar dos porque hice una combinación. Después, me dijo que tenía que pagar una multa de 6000 forints. Al verme sorprendido, me enseño la parte en el billete donde hablan de esta regla en inglés, solo para que no pudiera decir que no sabía. Admito que no he leido el boleto, pero si lo hubiese leido, yo hubiera pensado que “un pasaje” incluía también las combinaciones entre las líneas porque la única frase que habla de la regla dice que “un boleto es válido sòlo una vez”. En fin, yo no tenía 6000 forints en mi cartera. La verificadora dijo entonces “zis is police prrrroblem” y sacó su teléfono móvil para mostrarme que se iba a llamar la policía si no pagaba al tiro los 6000 forints. Saqué dinero de otro bolsillo. Solo tenía euros, un billete de 50. Me dijo que 6000 forints valían 30 euros, pero es mentira, busqué en la web después y según el verdadero tipo de cambio, valen 25 euros... Pagué y me dio este papel que da la prueba que he pagado la multa. Al final me costó más plata tomar el metro que lo que hubiera gastado en tomar el taxi! Hubiera querido volver a la estación de metro para tomar fotos de los vagones. Son muy interesantes. Son vagones soviéticos muy antiguos, tal vez de los años 1950 ó 1960. En ellos, uno se siente como en la ex-unión soviética. Pero no quise arriesgarme a pagar otra multa, entonces no regresé.

 

I took the metro thinking that it would cost me less than a ride of taxi. But once in the metro, I made a very bad mistake: I travelled in two different lines of metro without paying for two tickets. Apparently, in Budapest, if you travel in more than one line in the metro system, you have to pay for more than one ticket. I had never seen this rule before. I have taken the metro in 7 different cities, and Budapest has the only metro system that I know that charges you for each line that you take. About fifteen verificators were waiting for the passenger to come to verify the tickets. A small woman took my ticket and she told me that I had only paid for one ticket and I needed to pay for two. She gave me some time to explain myself before saying that I had to pay a 6000-forint fine. I was in shock. She took my ticket and showed me the part where it talks about the rule in English. I must admit I did not read the ticket, but if I had actually read it, I would have thought that one ticket gave me the right to transfer from one line to another, because the only place that states this rule in English says “this ticket is only valid once”. Anyway. I did not have 6000 forints in my wallet. The woman told me “zis is police prrrroblem” and she took her cell phone to show me she would call the police if I did not pay the fine right now. I took cash from another pocket. I only had euros, a 50-euro bill. She told me that 6000 forints are worth 30 euros, but it turned out false as I checked on the Internet afterwards and according to the real exchange rate, they are worth 25 euros… I paid and she gave me this piece of paper that proves that I paid the fine. Finally it cost me more money to take the metro that it would have cost me to take a taxi! I would have liked to come back to the metro to take some pictures of the wagons. These were very old, soviet wagons, back from the 1950s or 1960s. In them you really feel the ambiance that there was back in the communist era. But I did not want to risk paying a second fine, so I did not come back.

 

 

En sortant de la station de métro, je me suis trouvé dans la gare internationale de Budapest.

 

Al salir de la estación de metro, me encontré en la estación internacional de trenes de Budapest.

 

As I got off the metro station, I found myself in the international train station of Budapest.

 

 

Encore, de vieux véhicules qui rappellent l’ex-Union Soviétique!

 

Otra vez, vehículos antiguos que recuerdan la ex-Union Soviética.

 

Yet again, old vehicles that serve as a reminder of the ex-Soviet Union.

 

 

Voici l’endroit où j’ai laissé mes bagages durant les quelques heures que j’ai passées à attendre mon train. Cette pièce aurait très bien pu servir de décor pour un vieux film de James Bond…

 

Este es el lugar donde dejé mi maleta durante las horas que pasé esperando al tren. Este lugar habría podido servir en el decoro de una película antigua de James Bond…

 

This is the place where I left my luggage during the few hours that I waited for my train. This room could have well been used as the stage of an old James Bond movie…

 

 

Voici mes compagnons de route dans le train. Nous étions quatre (le troisième était assis à ma gauche et n’est pas sur la photo) et nous n’avions aucune langue commune! À gauche, il y avait Milan père et Milan fils (à ma gauche) qui parlaient le slovaque… et un petit peu le russe (mais le russe et le slovaque se ressemblent beaucoup, alors si vous comprenez le russe et qu’on vous parle en slovaque, il y a de bonnes chances que vous compreniez). À droite, un Turco-Roumain. Il parlait le turc, le roumain, le hongrois, l’allemand, un peu le  russe… et seulement un peu l’anglais… Je lui parlais en anglais, il me répondait en allemand, des fois il parlait en anglais et quand il ne me comprenait pas, je parlais en allemand… Les deux slovaques nous parlaient en slovaque, on leur répondait en russe… C’est ça l’Europe!

 

Ellos eran mis compañeros de viaje en el tren. Estábamos cuatro (el tercero estaba sentado a mi izquierda y entonces no está en la foto)... y no teníamos ningún idioma común! A la izquierda, había Milan padre y en frente de él, Milan su hijo. Ellos hablaban eslovaco... y un poco ruso (el ruso y el eslovaco son dos idiomas que se parecen mucho entonces si entienden el ruso y que se les habla en eslovaco, seguramente van a entender). A la derecha, un turco-romano. Él hablaba turco, romano, húngaro, alemán, un poco ruso... y sólo un poco inglés... Yo le hablaba en inglés, el me contestaba en alemán, a veces me hablaba en inglés y cuando no me entendía, yo le hablaba en alemán... Los dos eslovacos nos hablaban en eslovaco y nosotros les contestábamos en ruso... Bienvenido en Europa!

 

These were my travel buddies in the train. We were four sitting together (the third one is not on the picture because he was seated on my left).  We had no commune language between us! On the left, there was Milan, the father and in front of him, Milan the son. They were Slovaks, and they spoke Slovak and a little bit of Russian (Russian and Slovak languages are very similar, so if you understand Russian, and someone talks to you in Slovak, you will most probably understand). On the right, there was a Turco-Romanian. He spoke Turkish, Romanian, Hungarian, German, a little bit of Russian… and only a little bit of English… I talked to him in English and he would answer me in German, sometimes he would speak English… and when he would not understand me, I would speak in German. The two Slovak guys would talk to us in Slovak and we would answer in Russian… This is Europe!

 

 

Quand j’ai dit à Orhan, le Turco-Roumain, que j’allais en Moldavie, il a eu peur pour moi et il m’a donné des conseils. Il m’a offert de me montrer le chemin vers la station internationale d’autobus à Bucarest.

 

Cuando se lo dije a Orhan, el turco-romano, que me iba a Moldavia, tuvo miedo por mí y me dio varios consejos. Me ofreció de acompañarme hasta la estación internacional de bus en Bucarest.

 

When I told Orhan, the Turko-Romanian, that I was going to Moldova, he was worried for me. He gave me some advices and he offered me to show me the way to the international bus station in Bucharest.

 

 

La nuit, il était difficile de dormir. Les sièges n’étaient pas rétractables et il y avait beaucoup de lumière. Sur la photo, on voit deux tsiganes roumains. Il y en avait beaucoup dans le train.

 

En la noche, era muy difícil dormir. Los asientos no se bajaban y había mucha luz. En la foto he dos síganos rumanos. Había muchos en el tren.

 

At nighttime, it was difficult to sleep. The seats were rigid and there was a lot of light. On the picture there are two Romanian gypsies to see. There were a lot in the train.

 

 

Alors, je suis resté assis et j’ai attendu que le jour vienne pour sentir la fatigue… mais il était trop tard.

 

Entonces me quedé sentado y empecé a sentir el cansancio solo cuando empezó el día, pero ya era demasiado tarde.

 

So I remained seated and I waited for the day to come, only to start feeling tired. But it was too late to sleep.

 

 

 

Quand nous sommes arrivés en Roumanie, Orhan m’a aidé à changer mon argent, à appeler à l’auberge à Chisinau et il m’a montré le chemin à la station d’autobus.

 

Cuando lleguemos a Romania, Orhan me ayudó en cambiar mi dinero, llamar al hostal en Chisinau y también me mostró el camino a la estación de autobús.

 

Once in Romania, Orhan helped me change money, call to the hostel in Chisinau, and he showed me the way to the bus station.

 

 

Dans l’autobus pour Chisinau, j’avais un mauvais pressentiment. En entrant dans l’autobus je croyais être le seul étranger à bord (j’ai plus tard découvert qu’il y avait un autre Canadien, une Allemande et une Hollandaise) et après avoir entendu toutes les histoires d’horreur sur la Moldavie, je n’avais plus envie d’y aller. J’ai voulu prendre une photo de moi avant le départ, mais quelque chose a attiré mon attention lorsque j’ai appuyé sur le déclencheur. Regardez mon regard inquiet!

 

En el bus para Chisinau, tuve un mal presentimiento. Al subir al bus, pensé que yo era el único extranjero a bordo (pero más tarde me dí cuenta que había otro canadiense, una alemana y una holanda) y la gente me había contado tantas historias horribles sobre Moldavia que ya no quise ir. Quise tomarme una foto antes de partir, pero algo atrajo mi atención. Ven mi mirada preocupada?

 

In the bus to Chisinau, I had a bad feeling. As I entered the bus, I thought I was the only foreigner on bord (I later discovered that there was another Canadian, a German girl and a girl from the Netherlands). People had told me so many horrible stories about Moldova that I did not want to go anymore. I wanted to take a picture of myself, but as I pressed the button on the camera, something caught my attention. Do you notice my nervous eyes?

 

 

Dans l’autobus, j’ai encore eu la chance d’être assis à côté d’une bonne personne. Voici Alexandru, il m’a aidé à trouver mon auberge à Chisinau. (En fait, c’est un appartement, les photos viendront dans un prochain article!)…

 

En el bus, tuve otra vez la suerte de estar sentado al lado de una buena persona. He aquí Alexandru, él me ayudó a encontrar mi albergue en Chisinau. (De hecho, es un departamento, tengo fotos para un próximo artículo!)...

 

In the bus, I once again had the chance to be seated next to a very nice person. This is Alexandru, he helped me find my hostel in Chisinau. (In fact, it’s an apartment, I will put some pictures in a future article!)…

12 comentarios

JAVIER -

Hola Alexandre, gracias por enviarme tu blog, me alegro de tener noticias tuyas,estoy en el chomage y esperare unos meses para conseguir otro trabajo, en mi negocio estan aumentando los clientes y he tenido muchas ventas estas ultimas semanas asi que no tengo problema economico por ahora, dime si te puedo llamar por telefono y cual es la diferencia horaria, te dire que estoy tratando de hacer una queja con lo de mi despido de Jean Coutu, ya que de alguna manera encontrare la forma para que puedan mejorar su tiempo de prueba sin perjudicar a gente que desea realmente trabajar.
bueno saludos y diviertete bastante

yinguita -

ÎÞηµÄÂÃÐÐÕߣ¬Ï£ÍûÄãÔ½×ßÔ½Ô¶~~

Alexandre -

Oui, c'est l'URSS qui m'intéresse! :-)

Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour visiter la ville et je ne suis resté que dans les alentours de la gare. Je ne sais pas si ce que j'ai vu était l'architecture soviétique ou d'un autre style plus ancien. Je te montrerai les photos et tu m'en parleras!

Boris -

Alors, j'espere que si tu t'interesses vraiment de l'epoque sovietique, ces vieux objects seront le premier pas dans une etude plus profonde.
Puis, j'imagine que les Hongrois seraient bien choques d'entendre que Budapest est "une ville de style sovietique". Tu sembles preferer les choses provenant de l'URSS a l'architecture magnifique de Bupapest.

Alexandre -

Hehe Boris, non, je ne regarde pas ces pays comme des dépôts de choses obsolètes, mais comme des témoins d'une époque qui m'intéresse beaucoup. Les vieilles voitures pour moi ne sont pas obsolètes, mais belles et je trouve dommage qu'elles soient remplacées par de nouvelles voitures laides.

ziguette -

coucou alexandre, enfin de tes nouvelles! Tes photos sont superbes et tes commentaires dignes d'un article de presse. soit prudent et écoutes les conseils de ton copain Orhan;
Bonne route

Boris -

...... Je me demande si quelqu'un serait content de savoir qu'on regarde son pays comme un depot de choses obsoletes... Ne te fache pas... :-)

Laurence -

Salut Alexandre! C'est cool d'avoir de tes nouvelles! J'aime beaucoup tes photos, et je trouve que les portaits sont très bien réussis, surtout celui d'Orhan. Digne d'être publié!
J'espère que tu vas écouter les conseils judicieux de ton ami Orhan! Si même les gens du coin ont peur de la Moldavie... attache ta tuque, comme on dit!!
Quand je suis allée à Prague, il y bien longtemps, moi aussi, j'ai pris plein de photos de vieilles voitures. Elles sont tellement belles! Mais aussi des photos de l'architecture! Même si j'aime beaucoup le Québec et l'Amérique du Nord en général, c'est malheureusement pas ici que tu trouevras des villes aussi belles qu'en Europe! (Les propos exprimés dans le présent blog représentent les opinions de leurs rédacteurs, et non celles d'Alexandre. Veuillez envoyer vos plaintes à Alexandre, à l'adresse...!)
Je suis contente que tu ailles bien et que ta seule mésaventure était une amende dans le métro!!
À la prochaine!
Laurence
PS C'est vrai que le prix de l'essence a baissé un peu, mais ce n'est sûrement que provisoire, pour nous faire recommencer à prendre la voiture! Les pétrolières vont transformer les pires pollueurs en grano environnementalistes! Ciao!

Alexandre -

Ah! Le temps à Montréal! Ne m'en parle pas! Je déteste l'été montréalais. Mais ici, en Moldavie, il pleut aussi beaucoup, mais il fait moins chaud qu'à Montréal. Chisinau est une ville très sécuritaire et je ne crains pas pour ma santé ici!

J'ai pris beaucoup de photos à Budapest, je n'en ai affiché qu'une seule dans cet article, dans les prochains articles, je devrais en mettre d'autres!

Le prix de l'essence est en train de descendre à Montréal? Ou bien tu as fait une erreur? Ce serait bizarre que ce soit vraiment le cas!

À plus

Sébastien -

Allo Alexandre, je suis très content d'avoir tes nouvelles car je me demandais qu'est-ce que se passait de spécial. Wow c'est vraiment chouette ton petit voyage en Europe. J'adore la photo avec les vielles voitures, j'aurais aimé voir et puis aussi la gare internationale de Budapest, très belle architecture.

Ça va à la Moldavie ? J'espère que tu t'es trouvé un endroit pour dormir tranquille, n'oublie pas ta santé !!

Nous, au Québec, on parle beaucoup du spectacle que Paul McCartney (l'ex Beatle) a donné pour le 400e de Québec....Et ça s'en jase à travers le monde, times magasine, New York Times, etc. Et il ne fais très beau, beaucoup de puie et de mauvais temps, des innondations de rivières car il pleut trop, le prix du gaz qui redescent en flèche...



Alexandre -

En effet, c'est plus exotique! :-D

Boris -

En URSS, l'Hongrie symbolisait la prosperite et la Roumainie la pauvrete.

Je vois qu'une seule vieille voiture dans la rue (j'imagine que c'est Trabant fabrique en Allemagne de l'Est) t'est plus interessante que les beautes d'architecture... :-)